vendredi 30 novembre 2012

Les Blogueuses préparent Noël 2012 !


Événement très spécial à venir !!!



Du 1er au 24 décembre 2012, mon blog s’associe à 12 autres blogs pour vous concocter un Calendrier de l'Avent Surprise très Spécial !

Nous sommes 11 blogueuses et 1 blogueur à nous relayer chaque jour pour vous présenter un article Culture, Voyage, Photo, Cuisine, Famille ou Beauté pour vous faire rire, vous faire rêver et vous aider à préparer Noël.

Les participant(e)s :


Quelques exemples de ce qui vous attend :

  • Organisez votre voyage en Laponie pour rencontrer le Père-Noël
  • Les cadeaux à ne surtout pas offrir à vos proches sous peine de vous fâcher avec eux avant la Saint-Sylvestre
  • Des recettes végétariennes de Noël terriblement gourmandes (les macarons au pain d'épices)
  • 10 idées d'activités pour occuper vos enfants pendant l'Avent
  • La liste des livres traditionnels (ou pas) à relire au coin du feu
  • 5 idées de photos à prendre sur un marché de Noël
  • Remède naturel et écolo pour un teint éclatant avant les Fêtes
  • Et bien d’autres !!! (24 jours, 24 articles)

Ce Calendrier de l’Avent “Les Blogueuses préparent Noël 2012” vous plaît déjà ?
-> Surveillez ce logo dessiné par l’adorable Lily du blog MyBlackMinidress.com
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Et rendez-vous dès demain avec le premier article “Organisez votre voyage en Laponie pour rencontrer le Père-Noël” chez Sylvie de LeCoindesVoyageurs.fr !



jeudi 29 novembre 2012

Swap de la rentrée à tendance geek



L'été dernier, j'ai cédé à la tentation en faisant plusieurs swaps.

Le dernier en date était un mini swap ayant pour thème les tendances geek des participantes, et c'est Sofynet qui l'organisait sur le forum Livraddict.

Je suis plutôt très en retard pour publier cette photo, mais comme on dit, mieux vaut tard que jamais ^-^.

Le hasard a désigné les binomes, et m'a assigné un binome très efficace en la personne de Cassandre, comme vous pouvez le voir sur la photo suivante.
Elle avait choisi le thème du Steampunk que je ne connaissais que de nom, mais qui m'attire pas mal.




Bonne pioche donc, avec des romans vraiment tops : La liseuse, Le club des veufs noirs, Le nomade du temps.
Ils sont accompagnés de chocolats (déjà engloutis), de deux jolis cartes, d'un sac bien pratique et d'un repose poignet trop adorable !




Vous avez vu comme il est mignon ? 



Merci beaucoup à ma swappée et à l'organisatrice ! 


mardi 27 novembre 2012

Blood Hollow de W. Kent Krueger


Il y a parfois des livres dont on attend un simple bon moment de lecture, qui se transforme en très très bon moment de lecture.
C’est ce qui m’est arrivé avec celui-ci et évidemment, c’est tout de même plus agréable que l’inverse.

Cork O’Connor connaît bien la région. Bien qu’une tempête de neige menace en ce 2 janvier, il s’est porté volontaire pour faire partie de l’équipe de recherche.
On ne sait pas dans quelle direction est partie Charlotte, mais avec une moto neige, on peut aller loin. Elle a pu avoir un accident, être enlevée, être agressée…
Personne ne sait rien, mais on a immédiatement pensé à Solemn Winter Moon, son ex petit ami indien.
Instable, parfois violent, il ferait un excellent responsable, voire un excellent coupable si cette disparition tournait mal.

Blood hollow est un roman à la fois efficace et confortable.
Ce n’est pas un thriller haletant, et les moments où l’assassin se cache derrière vous avec une hache sont extrêmement rares.
D’ailleurs, ce n’est même pas vraiment un « thriller ». C’est plutôt un bon polar avec un peu de suspense de temps en temps.

Pour autant, il ne s’agit pas d’un roman « simple ». L’intrigue est complexe, elle mêle de nombreux éléments portant sur plusieurs personnages, et s’il est possible de trouver l’assassin, son identité n’est pas évidente.
Le récit prend des directions multiples, l’enquête s’égare parfois, mais revient toujours suivre une trame mêlant adroitement la religion, la nature, la vie dans une petite ville et la famille.

Cork O’Connor, héros de ce récit, mène l’enquête en essayant de préserver sa famille, en conciliant ses origines indiennes et sa foi chrétienne, en respectant les ancêtres et les vivants, ce qui n’est pas toujours facile.
L’histoire s’étire de façon très réaliste sur plusieurs mois, plusieurs saisons qui permettent aux évènements de reposer pour laisser apparaître leur vraie nature.
Le héros ne coure pas partout pour trouver l’assassin, il même plutôt une quête qui lui permettra de mieux connaître les gens qui l’entoure, sans pouvoir modifier le cours des choses.
Il apprend aussi à se connaître, et à vivre avec un autre mode de pensée qui lui vient de ses origines indiennes.
La confrontation avec Solemn Winter Moon et son évolution l’amène à repenser son mode de pensée, et permet au lecteur d’appréhender le mode de vie indien et son rapport à la nature.

Le passage des saisons est un autre moyen d’assigner une temporalité au roman, tout en évoquant le lien des indiens à la nature.
Les saisons passent, Cork reprend son activité estivale au bord du lac et s’éloigne ainsi de la vie en ville et de ses habitants.
C’est ainsi qu’il attire ceux qui souhaitent parler, et surtout qu’il parvient à percevoir la solution du mystère.
L’atmosphère est ouatée par la neige, puis éclairée par un soleil franc, calme qui laisse de la place pour la réflexion, voire la méditation.

Les 600 pages du roman passent ainsi sans que l’on s’en aperçoive, et se terminent avec un goût de trop peu.
Les personnages sont attachants, psychologiquement bien construits, et l’on se demande vraiment pourquoi il n’y a que deux romans traduits en français de cet auteur !
En tout cas, moi, je vais de ce pas lire le roman précédent et retrouver Cork et sa famille.

En bref, vous l’aurez compris, je conseille ce roman aux amateurs de bons polars, et aux amateurs de bons romans.
On y découvre tout autant les indiens d’Amérique du nord et leur relation à la nature, qu’un personnage attachant et une histoire intéressante.
A lire au coin du feu, et à terminer sur la plage J



Je remercie les chroniques de la rentrée littéraire et les éditions du Cherche-midi pour la lecture de ce roman. 

Voilà une 11e lecture pour le challenge 1% de la rentrée littéraire et un de plus pour le challenge thriller etpolar. 





lundi 26 novembre 2012

C'est lundi...


Voici un petit bilan du lundi pour faire le point sur mes lectures.

Mon rythme de lecture est toujours bien plus lent que d'habitude, alors pour que cela reste une détente, j'ai opté pour les quelques mangas et bandes dessinées qui trainaient par chez moi.

Ce petit bilan va donc être très éclectique, varié mais aussi ponctué de vieilles lectures qui trainent sur ce blog et sur ma table de nuit depuis plusieurs semaines.

J'ai pour ambition de partir en vacances en ayant terminé ce qui traine, les lectures entamées et les livres qui m'ont été envoyés en SP.
Je ne suis pas sure d'y arriver, mais je suis comme ça.
Je me suis fixée une liste de trucs à faire avant de partir pour pouvoir commencer la nouvelle année en rentrant du bon pied.
Honnêtement, j'en ai déjà fait pas mal, et c'est très encourageant.
Pour les lectures, ce n'est pas grave, mais je voudrais tout de même finir les livres entamés.

J'ai donc lu ce weekend les tomes 3 et 4 du Pavillon des Hommes. Je ne sais pas si je vous en parlerai, c'est difficile de parler des tomes d'une série, mais c'est vraiment une excellente série, pleine de bonnes surprises.





 J'ai repris la lecture de l'Espionne de Tanger, un bon roman mais dense. Je le lis pourtant avec plaisir.
J'ai également entrepris la lecture de la bande dessinée Camille Claudel.




Et parmi ce qui traine sur ma table de nuit, il y a Combien ? de Kennedy que je lirai sûrement plutôt en janvier, et Les femelles qu'il faudrait que je termine, mais je ne suis pas sure de le faire dans les semaines à venir. 
Et pour finir, je pense lire Zahra's Paradise dans les jours qui viennent. 




Et vous ? Vous lisez quoi cette semaine ? 


dimanche 25 novembre 2012

☞ Monument historique municipal en péril !!

Ce ne sont pas mes photos que je partage en ce dimanche, car je vais vous parler d'un lieu qui est aujourd'hui inaccessible à cause du dédain dont la mairie d'Evreux fait preuve à l'égard d'un monument historique majeur de cette ville.

La ville d'Evreux a été lourdement bombardée en 44 et il lui reste bien peu de monuments historiques.
Mais dans le Centre ville, il y a tout de même des îlots qui ont été épargnés, dont ce théâtre à l'italienne du 19e siècle.
Beaucoup d'enfants ont eu le plaisir de faire leur spectacle de fin d'année dans un vrai théâtre, sur une vraie scène grâce à ce lieu qui était très ouvert et accueillait aussi de nombreux cours de théâtre.
La programmation y était de qualité et les fauteuils étaient très confortables.

Et puis il y a quelques années, des travaux de grande ampleur ont été décidé ! 
Branle bas de combat, on démonte tout, on perce, on creuse, on défigure... et on s'arrête !!! 


Une des façades sans protection

La grande salle éventrée


Sans crier gare, le maire a suspendu les travaux, trouvant le projet initial trop couteux.
Certes, pourquoi pas, mais depuis lors, il ne se passe plus rien, les fondations sont à nues, les ouvertures sont à peine comblées, entrainant des infiltrations.
Le bâtiment se dégrade à une vitesse spectaculaire, et le maire propage l'idée qu'il est inutile de le conserver, et qu'il serait préférable de le détruire !!!

J'ai moi-même passé de nombreuses après-midi dans ce théâtre, et des soirées mémorables.
Mais même quand on n'a pas d'attachement particulier à ce lieu, le laisser dépérir (volontairement ? On peut se le demander) et vouloir le détruire est une attaque contre le patrimoine, contre l'histoire et la beauté d'un lieu qui n'avait rien à envier aux plus grands théâtres avant le pillage.

Malgré plusieurs articles dans la presse locale, personne ne bouge, et un peu en dernier recours, une pétition a été lancée.
Il s'agit d'une initiative locale, émanant d'un petit groupe de personnes (que je connais personnellement et qui ne vous harcèleront pas) que vous pouvez aider si cette triste histoire vous touche.



La grande salle et ses balcons


Le foyer du théâtre










Chez Lyiah, on passe le dimanche en photo et c'est aussi chez 





samedi 24 novembre 2012

Playlist du samedi et un peu de ma vie de chercheuse :)

Je vous l'ai déjà dit, la vie d'enseignant chercheur universitaire n'est pas de tout repos.

Alors que je croyais être en semi vacances, ayant achevé le premier semestre de cours, je suis finalement encore plus occupée qu'auparavant, avec un projet de recherche à rédiger en urgence pour obtenir quelques sous.

Les choses ont bien changées depuis que je me suis engagée dans cette voie en tant que petite étudiante de DEA.
Il n'est plus question aujourd'hui d'acheter du matériel quand on en a envie, ou de se balader en Europe pour un recueil de corpus.
Désormais, les financements tombent sur projet et il faut sacrément argumenter pour obtenir quelque chose.

Mais bon, honnêtement, cela ne me dérange pas plus que cela.
J'ai un but, je suis obligée de mettre de l'ordre dans mes idées, et de choisir une direction.
Cela m'impose un champ de recherche, ce qui est vraiment bien pour quelqu'un comme moi qui papillonne pas mal.

Ce qui me dérange, par contre, c'est de devoir élaborer un dossier financier Oo.
Je ne suis pas comptable, voyez-vous, et je ne sais pas évaluer une marge brut et une marge indicielle, distinguer les fonds propres et les fonds externes, établir le coût salarial de la participation d'un chercheur... On ne m'a pas formé pour cela (et pourtant, on m'a montré beaucoup de choses pendant ma formation).

Je perds donc beaucoup de temps et j'enrage un peu face à des tableaux qui me parlent autant qu'un roman en chinois ou en russe.

Pour me consoler, j'ai cédé à la tentation cette semaine et je peux désormais écouter Benjamin Biolay en boucle (dans mon casque, mon homme a un peu du mal sur le long terme).
Il faut aimer, je vous l'accorde, mais les textes comme les musiques me plaisent autant que dans l'album précédent.

Je vous laisse donc avec une petite chanson  ^-^





vendredi 23 novembre 2012

L'heure des comptes...


L'heure du bilan est arrivée !

Après avoir passé 4 semaines + 1 weekend à lire et compter les pages lus, voilà un petit récapitulatif des livres lus pendant cette période.
Certains de ces livres ont déjà été chroniqué sur ce blog, mais beaucoup d'entre eux attendent encore et le seront dans les prochaines semaines.

Pendant ce mois, j'ai donc lu :

  • Blood Hollow et c'était vraiment très bien
  • Fleurs de Paris et j'ai passé un excellent moment dans ce roman feuilleton pourtant vieillot (mais qui vieillit très très bien)
  • L'amour sans le faire et c'est une bien jolie lecture
  • Le fils de Jean-Jacques d'une infinie tristesse mais très instructif




J'ai également commencé Sensorium et repris la lecture de L'Espionne de Tanger, un excellent roman que j'avais dû reposer pour lire plus urgent.





Cela nous donne un total de : 1740 pages lus.
C'est un score inférieur à ma précédente édition, mais cela me convient, étant donné le travail que j'ai eu à affronter pendant ce même mois.

C'était donc un beau mois de lecture, plein de belles découvertes, de lectures sympas et de beaux livres.

Vivement la prochaine édition ^-^

jeudi 22 novembre 2012

Plan de table de Maggie Shipstead


Certains livres sont agréables à lire, mais sans que l’on sache réellement pourquoi, les pages ne se tournent pas comme on le souhaiterait.
Cela a été le cas pendant ma lecture de Plan de table.
Certains passages m’ont vraiment plu, d’autres moins, mais je me suis sentie plutôt bien dans cette histoire.
C’est donc une impression très paradoxale qui me restera de cette lecture.  

Winn marie sa fille ainée Daphné ce weekend dans sa maison de campagne.
Il lui faut donc quitter sa maison calme et tranquille, charger sa voiture des derniers préparatifs et rejoindre sa femme, ses filles et les invités qui ont envahie la maison d’ordinaire si paisible de l’île de Waskeke.
Profitant des dernières heures de tranquillité du trajet, il commence à faire le point sur ce que sa vie est devenue, ses filles qui ont grandi, Livia et sa passion pour la mer, Daphné et sa frivolité apparente, le club de golf de l’île où sa candidature est toujours en attente, son grand-père, ses parents…
A son arrivée, comme il s’y attendait, la maison l’accueille froidement, tel un étranger que l’on ne reconnaît pas, et les retrouvailles avec certains invités éveillent en lui des souvenirs et des désirs ambigus…

Disons-le d’emblée, ce livre est extrêmement bien écrit.
Maggie Shipstead manie sa plume avec entrain et mêle adroitement une bienveillance légère et un œil acéré.
Elle ne laisse rien passer et présente des personnages bien campés, entiers et qui nous paraissent surtout très vraisemblables.
Cette famille est disséquée au scalpel, observée à la loupe, et analysée par une auteure qui ne fait aucune concession à ses contemporains.

En se focalisant plus particulièrement sur deux membres de cette famille, le père Winn et sa fille cadette Livia, elle aborde plusieurs thématiques qui permettent au lecteur de se retrouver dans l’une ou l’autre des situations.
Alors que Winn est obnubilé par son image, par ce que les autres voient en lui, sa fille cherche davantage à se construire indépendamment des autres.
Ces deux situations se complètent pour proposer une satyre sociale parfois violente, mais très habile, dévoilant des aspects très différents de la société américaine.
Les Clubs qui paraissent au centre du fonctionnement social et de la reconnaissance de chacun dans un groupe, sont ici source de torture morale et surtout de mauvaise interprétation du fonctionnement social.
Winn appartient à certains clubs alors que ses membres le voient comme un étranger, tandis qu’il postule pour un autre club où il n’entrera jamais sans en connaître la cause.
Perdu dans un système dont il ne maitrise pas tous les codes, il ne sait plus que faire pour s’en sortir et se regarde sombrer pendant ce court weekend.
En deux jours, ses certitudes explosent et sa vie est remise en question.

Ce dévoilement des apparences adresse une leçon au lecteur sans l’accuser frontalement.
Dans le tableau que nous avons sous les yeux, la vie est basée sur ce que les autres pensent de vous, et ne peut donc pas être heureuse.
Elle repose sur l’acceptation par les autres de ce que l’on souhaite être, alors que chacun ne sait pas toujours ce qu’il est réellement.
Ce fonctionnement social est donc voué à l’échec.

Dans cette vision du monde, l’île de Waskeke, comme le sont souvent les îles, est d’abord vue comme un endroit idyllique, un havre de paix qui se révèle finalement dangereux physiquement.
C’est un lieu où la pourriture règne (celle du jardin de Winn où rien ne pousse, celle d’une baleine échouée sur la plage, de Winn lui-même).
Pour s’en sortir, il faut partir, aller plus loin et passer la mer, comme le fera la baleine pour retrouver son état originel et sa fierté.

La morale de ce roman pourrait alors être tout simplement que les apparences disparaissent toujours. On ne peut aller contre la vérité des choses et il faut faire avec.
Avant de conclure ce billet, j’ajouterais néanmoins quelques petites réserves.
Pendant un bon tiers du roman, le chemin emprunté par Maggie Shipstead m’est resté opaque.
Je n’ai pas vu où elle voulait en venir et cela m’a gêné.
J’ai également trouvé que l’histoire de Winn et d’Agatha tombait parfois comme un cheveux sur la soupe, et je ne suis toujours pas sure que ce soit quelque chose d’indispensable.
Le démon de midi qui chatouille l’homme mûr, pourquoi pas. Mais la façon dont le sujet est traité fait vraiment passer cet homme qui paraît honnête pour un vieux dégoutant limite pédophile.
Cela m’a paru quelque peu exagéré.
Enfin, je n’ai pas réussi à m’identifier, à m’impliquer dans l’histoire.
J’ai admiré le talent de l’auteure pour la satyre, le démontage social auquel elle procède, mais aucun des personnage n’a suscité chez moi de la pitié ou de l’empathie.

Tant pis !
C’est tout de même un très bon roman, et si vous cherchez une lecture distrayante sans légèreté, un roman qui vous parle de nos sociétés et vous fasse un peu réfléchir mais pas trop, ou si vous voulez découvrir une jeune auteure prometteuse, n’hésitez pas.

Je remercie les Chroniques de la Rentrée littéraire et les éditions Belfond pour la lecture de ce roman.



Voilà une 10e lecture pour le challenge 1 % de la rentrée littéraire.



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